Thérapie individuelle : quand consulter pour ne pas s’oublier

Vous vous sentez fatigué.e, vide, à fleur de peau ? Ce n’est pas forcément une crise, mais un signal. Consulter un thérapeute peut vous aider à ne plus vous oublier.

GESTION DES ÉMOTIONS

Céline FOLLY

7/29/20251 min read

Thérapie - Céline FOLLY
Thérapie - Céline FOLLY

Tu peux avoir une vie “qui roule”, une situation stable en apparence… et te sentir complètement à côté de toi.

Ce que je vois dans mes accompagnements, ce sont des femmes, des hommes, qui se sont tellement adaptés qu’ils ne savent plus ce qu’ils veulent. Ils jouent tous leurs rôles – parent, pro, conjoint – sans jamais exister au centre. Ce n’est pas spectaculaire, mais c’est insidieux.

Alors quand consulter un thérapeute ?
Peut-être bien avant la crise.

Les signes qui ne trompent pas

  • Vous vous sentez fatigué.e en permanence, sans raison médicale

  • Vous êtes irritable, à fleur de peau, sans comprendre pourquoi

  • Vous avez perdu l’élan, la joie, l’envie

  • Vous avez l’impression de jouer un rôle, sans habiter votre vie

Ces signaux sont souvent vus comme “passagers” ou “normaux”. Mais ce sont des alertes. Ce ne sont pas des faiblesses, ce sont des indicateurs.

L’hypersensibilité et la sur-adaptation

Beaucoup de mes clients sont hypersensibles. Et pour “tenir”, ils se sur-adaptent. Ils écoutent l’autre, absorbent les tensions, prennent sur eux. Jusqu’à l’épuisement.

Le poids de l’hypervigilance émotionnelle finit par créer un sentiment de vide. On ne sait plus ce qu’on ressent. On devient ce que l’autre attend.

Pourquoi attendre d’aller mal ?

La thérapie n’est pas réservée à ceux qui « vont mal ». Elle est là pour ceux qui veulent revenir à eux-mêmes, comprendre leurs mécanismes, retrouver une place juste dans leur propre vie.

👉 Si vous vous sentez concerné.e, je vous invite à découvrir ma manière de travailler :

En savoir plus sur la thérapie individuelle

On ne consulte pas un thérapeute parce qu’on est faible. On le consulte parce qu’on ne veut plus se perdre dans des rôles, dans le silence ou dans le trop-plein.

Et si c’était le moment de vous remettre au centre, sans culpabilité ?