Thérapie : pourquoi se faire accompagner est un signe de force ?

Et si le vrai courage, c’était de se regarder en face ?

On vous a peut-être appris à « tenir bon », à « encaisser », à « ne pas se plaindre ». Mais à force de tout garder, de tout gérer seul·e, quelque chose se fige.

Beaucoup consultent quand tout craque. Mais le vrai courage, c’est de venir avant ça. Quand on sent que ça tire à l’intérieur, quand on se perd dans ses rôles, quand on ne sait plus ce qu’on veut.

La thérapie, un acte de lucidité

Aller voir un·e thérapeute, ce n’est pas déclarer qu’on est malade. C’est reconnaître que quelque chose coince. Et avoir la force de ne plus le fuir.

C’est dire :

• Je ne veux plus me trahir.

• Je mérite un espace où je peux être vrai·e.

• Je suis prêt·e à déconstruire pour me reconstruire.

Et ça, peu de gens osent le faire. C’est pour ça que c’est courageux.

Faire une thérapie, ce n’est pas être fragile. C’est être lucide.

Pourquoi ce n’est pas simple (et c’est normal)

Parce qu’on va devoir parler de ce qui fait mal.
Parce qu’on va devoir lâcher ce qui nous a longtemps protégés.
Parce qu’on va devoir remettre du mouvement là où on avait mis du silence.

Mais ce mouvement est nécessaire. Il redonne de la vie.

La thérapie permet de :

• Nommer ce qu’on ne comprend pas

• Sortir des schémas de répétition

• Retrouver une direction qui a du sens

• Ne plus avoir peur de soi

  Se lancer seul peut être difficile. Si vous ressentez le besoin d'être accompagné·e dans cette démarche, découvrez comment la thérapie individuelle peut vous guider sur ce chemin vers la liberté.

Exercice : Qu’est-ce que j’ai évité jusqu’ici ?

Notez sur une feuille :

• Ce que je sais que je fuis (émotion, souvenir, tension, question)

• Ce que ça me coûte de continuer à éviter

• Ce que je gagnerais à y faire face

Soyez honnête. Pas parfait.e. Juste présent.e à vous-même.

Faire une thérapie, ce n’est pas baisser les bras.
C’est oser faire de la place à ce qui est vivant, même si c’est inconfortable.

C’est un choix fort, intime, radical parfois.
Mais c’est un choix de vérité. Et donc de liberté.

→ Découvrir la thérapie individuelle