Faire la paix avec ton passé pour enfin écrire une nouvelle histoire

• Tu ne peux pas créer un nouveau chapitre en gardant les pages collées par la douleur.

• Faire la paix avec ton passé ne veut pas dire l’oublier : ça veut dire reprendre ton pouvoir dessus.

• La reconstruction n’arrive pas par hasard. Elle commence le jour où tu décides de ne plus laisser une ancienne histoire écrire la suite.

Une rupture laisse souvent des traces qu’on ne voit pas tout de suite. Tu continues d’avancer, tu bosses, tu vois des amis… mais à l’intérieur quelque chose reste figé.

Un souvenir.
Une injustice.
Une phrase qui t’a détruit(e).
Un moment où tu t’es senti(e) impuissant(e), pas à la hauteur, pas choisi(e).

Et même si tu dis que tu as “tourné la page”, il suffit de peu pour que tout remonte : un message, un silence, quelqu’un qui te plaît.

La vérité, c’est que tu ne peux pas créer un avenir solide tant que ton passé te tient encore par la manche.
Et ça n’a rien à voir avec être “faible” ou “trop sensible”.
C’est humain.

La paix intérieure… ça se construit. Pas tout(e) seul(e). Pas en forçant.
Mais en comprenant ce qui s’est joué, ce qui t’a blessé(e), ce que tu portes encore.

Faire la paix avec ton passé, c’est poser un regard neuf dessus.
Pas un regard qui t’accuse.
Pas un regard qui accuse l’autre.
Un regard qui te libère.

Parce qu’au fond, tu ne veux pas juste “aller mieux”.
Tu veux te retrouver.
Tu veux cesser de te méfier de l’amour.
Tu veux aimer à nouveau… mais avec un cœur libre.

Et ce cœur libre, il se construit souvent dans un espace où tu peux déposer ce que tu n’as jamais vraiment dit.
Où tu peux comprendre tes schémas, recoller ce qui s’est fissuré, et réapprendre à avancer en confiance.

Exercice pratique (5 minutes)

Prends une feuille.
Écris trois choses du passé que tu sens encore présentes aujourd’hui.
Puis, pour chaque point, réponds :

1. Qu’est-ce que ça dit de moi ?

2. Qu’est-ce que j’aimerais laisser derrière moi ?

3. Qu’est-ce dont j’ai besoin pour avancer ?

Ce petit exercice ouvre une porte.
La suite, c’est un chemin.

P.S. : Si tu sens que tu n’y arriveras pas seul(e), que ça tourne en boucle et que tu as besoin d’un vrai espace pour t’apaiser, comprendre et renaître…

Je t’accompagne dans un cadre thérapeutique sécurisant et profond.
Tu n’as pas à porter ça seul(e). → Prendre rendez-vous