Psychopraticienne à Lille & en visio – Guide des émotions : surcharge émotionnelle, hypersensibilité, anxiété
Un guide pour comprendre vos émotions, sortir de la surcharge et retrouver votre sécurité intérieure. Thérapie émotionnelle à Lille et en visio.
GESTION DES ÉMOTIONS
Céline FOLLY
12/2/202515 min read


Le grand guide des émotions : comprendre, apaiser, transformer
On ne nous apprend pas à vivre avec nos émotions.
On nous apprend à avancer, à “tenir le coup”, à encaisser.
On nous félicite quand on garde le contrôle, quand on ne pleure pas, quand on reste “fort”.
Mais à force de serrer les dents, beaucoup finissent par se sentir au bord d’eux-mêmes.
Depuis plusieurs années que j’accompagne des personnes en thérapie émotionnelle, en cabinet à Lille ou en visio, j’observe quelque chose de très simple et très humain :
Ceux qui souffrent ne sont pas trop sensibles. Ils sont trop seuls avec ce qu’ils portent.
Ce n’est pas une fragilité.
C’est une surcharge.
Une émotion n’est jamais un problème.
C’est un message du corps qui dit :
« Tu ne peux plus continuer comme ça. Tu as besoin d’espace. »
Ce grand guide existe pour t’aider à :
* comprendre comment tu fonctionnes émotionnellement,
* apaiser ce qui déborde,
* retrouver ton axe,
* sortir de la surcharge mentale et émotionnelle,
* transformer ce qui te submerge,
* reconstruire ta sécurité émotionnelle.
C’est un chemin vers la présence.
Vers toi.
Vers une manière plus douce et plus forte de vivre ton monde intérieur
Comprendre ses émotions : ce que personne ne nous a appris
Une émotion est un message, pas un ennemi
En séance, j’entends souvent la même phrase :
« Si je commence à ressentir, je vais perdre le contrôle. »
Et derrière cette phrase, il y a de la peur.
Pas la peur de l’émotion.
La peur de s’effondrer.
La peur de ne pas savoir quoi faire.
La peur d’être encore une fois “trop”.
Mais je le répète souvent :
une émotion n’est dangereuse que quand elle reste seule.
Quand tu l’écoutes, elle s’apaise.
Quand tu la repousses, elle se renforce.
La régulation émotionnelle n’est pas un talent réservé à quelques-uns.
C’est une compétence qui s’apprend, qui se développe, qui se muscle exactement comme un réflexe intérieur
Les 4 familles d’émotions — ton langage intérieur
Dans mon travail de psychopraticienne à Lille & en visio, j’aide souvent les personnes à simplifier leur monde émotionnel.
On croit qu’il existe des centaines d’émotions différentes.
C’est faux.
Elles viennent toutes de quatre familles principales :
1. La peur : protéger
Elle t’alerte. Elle te prévient que quelque chose demande ton attention ou une mise à distance.
2. La colère : poser tes limites
Ce n’est pas une violence.
C’est un mouvement intérieur qui dit :
“Ça, ce n’est pas juste pour moi.”
3. La tristesse : réparer
Elle invite au ralentissement, au recul, à l’intégration de ce qui a été perdu ou bousculé.
4. La joie : connecter et s’ouvrir
Elle te montre ce qui te nourrit, ce qui t’aligne, ce qui te met en mouvement.
Comprendre ce langage émotionnel, c’est déjà guérir quelque chose.
Parce que tu arrêtes de penser que tu es instable.
Tu comprends que ton corps parle
Charge mentale vs charge émotionnelle : la confusion qui épuise
Beaucoup de personnes qui viennent me voir en thérapie individuelle me disent :
« Je suis fatigué, j’ai trop dans la tête. »
Mais quand on creuse, ce n’est pas la tête qui étouffe.
C’est le cœur.
La société nous parle beaucoup de charge mentale.
To-do lists.
Responsabilités.
Gestion du quotidien.
Mais très peu parlent de charge émotionnelle.
Et pourtant, c’est elle qui épuise vraiment.
La charge mentale (celle que tout le monde voit)
Elle est visible :
* tâches,
* organisation,
* anticipation,
* responsabilités,
* pression quotidienne.
Ça fatigue.
Mais ça ne fait pas imploser.
La charge émotionnelle (celle dont on ne parle jamais)
Elle est invisible, silencieuse, mais infiniment plus lourde.
C’est :
* porter les émotions des autres,
* être le pilier,
* jouer le rôle de l’enfant sage, du partenaire solide, de l’ami disponible,
* faire semblant que tout va bien,
* ravaler ce que tu ressens,
* te taire pour ne pas déranger,
* minimiser ton besoin d’aide,
* t’excuser d’être fatigué.
Ce que je vois en cabinet ou en visio, c’est que la surcharge émotionnelle crée :
* l’anxiété,
* le mental en boucle,
* la fatigue nerveuse,
* les débordements,
* les pleurs soudains,
* l’impression de ne plus se reconnaître.
La charge mentale fatigue.
La charge émotionnelle vide.
Et beaucoup consultent une psychopraticienne à Lille ou en visio exactement à ce moment-là :
lorsque la vie intérieure devient trop lourde pour être portée seul(e).
Pourquoi certaines personnes ressentent tout plus fort ?
Hypersensibilité — une force mal comprise
Être hypersensible n’est pas une faille.
C’est une intensité émotionnelle et perceptive plus grande que la moyenne.
Une sorte de radar interne qui capte ce que d’autres ne voient même pas.
Mais si tu as grandi dans un environnement où il fallait :
* te calmer,
* te contenir,
* faire plaisir,
* ne pas déranger,
* cacher ce que tu ressentais,
* jouer un rôle…
Alors ton hypersensibilité devient difficile à porter.
Pas parce qu’elle est “trop”.
Parce qu’elle n’a jamais eu d’espace.
Une thérapie pour hypersensibles adultes permet justement de redonner une direction à cette intensité pour qu’elle devienne une force stable.
Le système nerveux — ton centre de gravité émotionnel
Pour comprendre ton rapport aux émotions, il faut comprendre comment fonctionne ton système nerveux.
En psychologie, on parle de la Window of Tolerance (fenêtre de tolérance).
C’est l’espace intérieur dans lequel :
* tu te sens relativement en sécurité,
* tu peux réfléchir,
* tu peux ressentir sans être submergé,
* tu peux communiquer clairement.
Quand tu sors de cette fenêtre, tu vas dans :
★ l’hyperactivation : agitation, stress, rumination, émotions intenses
★ l’hypoactivation : repli, coupure, impression de vide, fatigue extrême
Ce n’est pas un manque de volonté.
C’est un mécanisme de protection.
Dans ma pratique de thérapie émotionnelle, on travaille beaucoup sur :
* apaiser l’hypervigilance,
* calmer le système nerveux,
* reconstruire un socle de sécurité émotionnelle,
* élargir ta capacité à accueillir les émotions sans t’y perdre.
Sans sécurité intérieure, il n’y a pas de transformation durable.
C’est le point de départ de tout le reste.
Quand les émotions débordent : ce qui se passe vraiment
La plupart du temps, ce n’est pas la “dernière goutte” qui fait déborder.
C’est l’accumulation.
Les causes que j’observe le plus souvent :
* une limite qui a été dépassée trop longtemps,
* un besoin ignoré,
* une relation où tu t’es oublié,
* une surcharge émotionnelle étalée sur des années,
* une ancienne blessure réactivée par un événement récent.
Quand tu dis :
« Je pleure pour rien »
« Je m’énerve pour des détails »
« Je suis à fleur de peau »
Ce n’est jamais “pour rien”.
C’est que ton système émotionnel n’a plus de place.
Une thérapie pour gérer ses émotions permet justement de sortir du mode survie..
Comment apaiser une émotion : les bases qui fonctionnent vraiment
On pense souvent qu’apaiser une émotion, c’est la contrôler.
L’éteindre.
La repousser.
“Garder le contrôle”.
Mais l’apaisement ne vient presque jamais du contrôle.
Il vient de la relation que tu entretiens avec toi-même au moment où ça déborde.
Dans ma pratique en thérapie émotionnelle, c’est ce que je vois le plus :
les émotions ne submergent pas parce qu’elles sont trop fortes,
mais parce que on n’a jamais appris à être accompagné pour les traverser.
L’apaisement commence par de très petits gestes.
Des gestes simples, accessibles, qui envoient un message clair au corps :
“Tu n’es plus seul.”
1. observer (au lieu de lutter)
Quand je travaille avec une personne submergée, je commence souvent par lui proposer… de ralentir.
Pas d’analyser.
Pas de “comprendre pourquoi”.
Juste de s’arrêter quelques secondes.
Observer une émotion, c’est comme allumer une lumière dans une pièce sombre.
Tu ne sais pas encore comment la ranger, mais tu vois enfin ce qui s’y trouve.
Ferme les yeux.
Et demande-toi :
* Où est-ce que ça serre ?
* Est-ce que ça chauffe ?
* Est-ce que ça tremble ?
* Quelle est l’intensité ?
* Est-ce que ça bouge ou est-ce que ça reste fixe ?
Cette simple observation engage le cortex préfrontal (la zone du cerveau qui régule les émotions).
C’est documenté en neurosciences :
➤ Observer active déjà la régulation.
C’est comme dire à ton corps :
“Je t’ai vu. Je t’écoute.”
2. revenir dans le corps (le mental amplifie, le corps régule)
Quand tu es submergé, ton mental devient très bruyant :
on anticipe, on imagine, on dramatise, on cherche des solutions,
on réécrit toute la scène dans sa tête.
Mais le mental ne régule pas.
Il amplifie.
Le corps, lui, régule naturellement…
à condition qu’on lui redonne accès à l’espace.
Trois gestes simples que j’utilise en thérapie individuelle, en cabinet comme en visio :
Geste 1 : respiration lente et basse
Inspire par le nez 4 secondes → expire 6 secondes.
Ce rythme active le système parasympathique (celui du calme).
Geste 2 : relâcher la mâchoire
Une mâchoire contractée envoie au cerveau un signal d’alerte.
La détendre, c’est dire :
“Il n’y a pas de danger immédiat.”
Geste 3 : ancrer les pieds au sol
Tu peux être émotionnellement en panique et physiquement stable.
Le corps comprend ce message.
Ce sont des gestes simples.
Mais ce sont des gestes d’apaisement physiologique
3. Nommer ce que tu ressens
Nommer une émotion, même approximativement, la rend moins intense.
On appelle ça l’alexithymie inverse en psychologie :
lorsque tu trouves un mot, le cerveau diminue le signal émotionnel.
Ce n’est pas de la magie.
C’est de la biologie.
On peut dire :
* “Je sens de la colère.”
* “Je suis touché(e).”
* “Je suis triste.”
* “Je suis dépassé(e).”
* “Je suis anxieux(se).”
Tu ne résous rien, mais tu changes ton rapport à ce que tu vis.
Transformer ses émotions : la véritable thérapie
Apaiser, c’est une première étape.
Transformer, c’est changer ta manière de vivre avec toi-même.
Et ça demande un espace où tu n’as pas besoin de jouer un rôle.
Ce que je vois en séance, c’est que la plupart des gens n’ont jamais eu de lieu où :
* ils pouvaient être vrais,
* ils pouvaient dire ce qu’ils ressentent sans minimiser,
* ils pouvaient se déposer sans peur de déranger,
* ils pouvaient reconnaître leurs besoins sans honte.
La transformation émotionnelle naît de cet espace.
1. identifier le vrai déclencheur
Très souvent, l’événement déclencheur n’est qu’un rappel d’une douleur plus ancienne.
Un silence dans une relation peut réveiller :
→ un manque d’attachement dans l’enfance.
Une critique peut réveiller :
→ la honte d’avoir été jugé petit(e).
Une dispute peut réveiller :
→ la peur de décevoir.
Une demande peut réveiller :
→ la sensation de ne jamais être assez.
On croit que l’émotion parle du présent.
Elle parle du passé.
L’objectif en thérapie émotionnelle est de différencier :
* ce qui appartient à l’ici,
* ce qui appartient à l’avant.
C’est là que tu reprends ton pouvoir.
2. sortir de la suradaptation
La suradaptation est l’un des mécanismes que je vois le plus dans ma clientèle.
C’est une stratégie de survie, apprise très tôt, souvent dans des familles où :
* il ne fallait pas déranger,
* il fallait être “sage”,
* il fallait être fort,
* il fallait plaire pour être aimé,
* il fallait éviter les conflits.
Alors tu as appris à :
* te taire,
* faire plaisir,
* t’excuser,
* minimiser ton besoin,
* absorber les émotions de l’autre,
* te fondre pour ne pas créer de tensions.
Sauf que la suradaptation crée deux choses :
1. un sentiment d’injustice silencieuse
2. un débordement émotionnel régulier
Parce que quand tu t’oublies trop longtemps,
ton corps finit par se rappeler à toi.
Sortir de la suradaptation, ce n’est pas “changer qui tu es”.
C’est arrêter de t’abandonner
3. retrouver la sécurité émotionnelle
C'est l’état dans lequel tu peux :
* ressentir sans te juger,
* t’exprimer sans avoir peur,
* dire non sans culpabiliser,
* te recentrer sans te crisper,
* accueillir tes émotions sans penser que tu vas exploser.
Beaucoup de personnes n’ont jamais connu cet état.
Elles ont connu la vigilance.
Elles ont connu l’adaptation.
Elles ont connu la responsabilité.
Mais pas la sécurité.
En thérapie individuelle (en visio ou en cabinet), on reconstruit cet espace, pas à pas.
Et dès que la sécurité revient, les émotions deviennent moins violentes. moins envahissantes.
Moins effrayantes.
Parce qu’elles ne sont plus livrées à elles-mêmes.
Exercices pratiques pour apprivoiser tes émotions
Les exercices ne sont pas là pour te “corriger”.
Ils sont là pour te ramener à toi.
Pour t’aider à créer un espace intérieur où tu te sens plus solide.
Je te les donne tels que je les utilise souvent en séance
Exercice 1 — Scan émotionnel (2 minutes le soir)
Le soir, au calme, assieds-toi.
Respire.
Et pose-toi ces trois questions :
1. Qu’est-ce que j’ai ressenti aujourd’hui ?
2. À quel moment je me suis oublié(e) ?
3. Qu’aurais-je eu besoin à ce moment-là ?
Ce petit rituel réinstalle une présence intérieure.
Il t’aide à ne plus passer tes journées à te dissocier ou à t’effacer.
Au fil du temps, tu vas mieux repérer ce qui te touche vraiment.
Et tu vas retrouver du pouvoir sur ta vie émotionnelle.
Exercice 2 — Stop-Chaos (30 secondes)
Quand une vague monte,
arrête-toi.
Place les pieds au sol.
Respire.
Et dis à voix basse :
“Je suis là. Ça passe. Je peux respirer dedans.”
Pourquoi ça marche ?
Parce que tu crées un pont entre l’émotion et ta présence.
Tu te rappelles à toi.
Et tu donnes à ton système nerveux ce qu’il attend :
un repère.
Exercice 3 — Ancrage des limites
Place une main sur la poitrine.
Respire lentement.
Et répète :
* « J’ai le droit d’être comme je suis. »
* « J’ai le droit de dire non. »
* « Je me choisis sans me trahir. »
Ces phrases ne sont pas des “affirmations positives”.
Ce sont des permis intérieurs.
Des permissions que tu n’as jamais reçues mais que tu peux te donner maintenant.
La thérapie émotionnelle en visio — tout aussi puissante qu’en cabinet
Beaucoup hésitent à consulter en visio.
Ils pensent que la distance va empêcher le lien ou l’efficacité. Mais ce que j’observe dans ma pratique, c’est exactement l’inverse.
La visio permet :
* de consulter depuis ton espace,
* d’éviter le stress du déplacement,
* de te sentir plus libre émotionnellement,
* de te concentrer uniquement sur toi,
* d’intégrer la séance immédiatement après.
Pour les hypersensibles, c’est souvent un cadre encore plus sécurisant qu’un cabinet.
Pour ceux qui vivent avec une surcharge émotionnelle, c’est un rythme plus doux, plus flexible.
Que ce soit en cabinet à Lille ou en visio, la qualité du travail repose sur la présence, la lecture émotionnelle, la sécurité, pas sur la distance physique.
La thérapie émotionnelle en visio : un espace sûr, moderne et profondément humain
La visio n’est pas un “plan B”. Ce n’est pas une thérapie au rabais. Ce n’est pas une version affaiblie de ce qui se passe en cabinet.
C’est un espace thérapeutique à part entière, que beaucoup de personnes trouvent même plus naturel, plus doux, plus simple à intégrer à leur vie.
Dans ma pratique de psychopraticienne à Lille, j’ai longtemps cru que le cabinet serait mon espace principal.
Aujourd’hui, une grande partie de mes séances se déroulent en visio.
Et ce que je vois, séance après séance, c’est :
✔ plus de fluidité
Les personnes arrivent plus détendues, car elles n’ont pas dû gérer un déplacement, un stationnement, un retard possible.
Elles entrent directement dans leur monde intérieur.✔ plus de vérité
Quand tu es chez toi, entouré de ton propre espace, tu laisses tomber certaines armures.
Tu oses dire des choses que tu retiendrais ailleurs.
✔ plus de continuité
Les séances ne sont pas interrompues par les aléas de la vie (distance, trafic, météo, horaires).
Pour une thérapie émotionnelle, la régularité change tout.
✔ plus de sécurité pour les hypersensibles
Les personnes très sensibles se sentent souvent plus en sécurité lorsqu’elles peuvent se déposer dans un environnement qu’elles connaissent.
✔ la même profondeur, la même présence
La qualité d’une thérapie dépend de la présence, pas du lieu.
Ce qu’on travaille, ce sont des émotions, du vécu, des schémas… pas une posture physique.
La visio devient un cocon.
Un espace dédié.
Un moment pour toi, réellement pour toi.
Bénéficier d’un accompagnement thérapeutique profond : comment ça se passe vraiment ?
La thérapie émotionnelle n’est pas un question-réponse, ni un protocole mécanique. C’est un chemin. Un mouvement.
Une rencontre entre ton monde intérieur et une présence qui sait l’accueillir sans te réduire, sans te juger, sans t’imposer un modèle.
Dans mes accompagnements en thérapie individuelle, que ce soit à Lille ou en visio, je travaille avec quatre piliers
1. la présence (ton système nerveux lit avant toi)
On parle beaucoup de psychologie, mais on oublie un point essentiel :
ton système nerveux lit la présence de l’autre avant de lire ses mots. Si tu te sens jugé(e), analysé(e), observé(e), tu ne peux pas t’ouvrir. Tu restes dans la vigilance. Tu parles, mais tu ne déposes rien.
Ce que j’offre en séance, ce n’est pas seulement une analyse :
c’est une présence stable, claire, suffisamment douce pour que ton corps s’autorise à se relâcher.
Quand le corps se relâche, le mental ralentit.
Quand le mental ralentit, l’émotion peut s’exprimer.
Et quand l’émotion peut exister sans danger, elle se transforme.
2. la lecture émotionnelle (voir ce que tu ne vois plus)
Beaucoup de personnes vivent des émotions sans comprendre ce qu’elles racontent vraiment.
Elles confondent :
* tristesse et solitude,
* peur et stress,
* colère et culpabilité,
* fatigue et surcharge émotionnelle,
* anxiété et hypervigilance,
* amour et attachement blessé.
Mon rôle de psychopraticienne est de t’aider à lire ce langage intérieur. Ça change tout.
Parce que quand tu comprends, tu arrêtes de te juger, tu arrêtes de croire que tu es “trop” ou “pas assez”.
Tu te vois avec plus de tendresse, plus de lucidité.
3. la sécurité émotionnelle (le socle de toute transformation)
On ne peut pas faire un travail émotionnel sérieux si tu ne te sens pas en sécurité.
La sécurité émotionnelle, ce n’est pas :
* être fort,
* être stable,
* être solide,
* ne jamais pleurer.
La sécurité émotionnelle, c’est :
➤ pouvoir ressentir sans avoir peur de toi-même.
C’est le cœur de ma pratique. Quand la sécurité revient, tout change :
* les émotions ne débordent plus aussi violemment,
* le mental se calme,
* tu te reconnectes à ton corps,
* tu comprends enfin ce qui se passe en toi.
Sans sécurité, le travail reste superficiel. Avec la sécurité, la transformation devient durable.
4. l’intégration : rendre les changements réels dans ta vie
Une thérapie émotionnelle n’est pas qu’un moment fort une fois par semaine. C’est un processus qui infuse ta vie réelle.
On travaille ensemble pour que :
* tu t’écoutes davantage,
* tu poses des limites,
* tu reviennes à toi quand tu te sens envahi(e),
* tu reconstruises ta place,
* tu fasses la paix avec certaines blessures,
* tu avances sans te trahir.
Tu deviens quelqu’un qui ne se suradapte plus.
Quelqu’un qui ne se perd plus dans les autres.
Quelqu’un qui se choisit sans écraser, sans fuir, sans s'effondrer.
C’est une forme de renaissance intérieure.
A qui s’adresse la thérapie émotionnelle ?
Les personnes que j’accompagne vivent souvent :
* une hypersensibilité mal comprise,
* une surcharge émotionnelle,
* un mental qui tourne en boucle,
* un sentiment de vide ou de perte de repères,
* de l’anxiété,
* des difficultés relationnelles,
* des difficultés à poser des limites,
* des ruptures qui réveillent des blessures anciennes,
* l’impression d’être “trop” ou “pas assez”.
Certaines viennent après des années de silence intérieur. D’autres viennent après un événement déclencheur.
Toutes viennent pour la même raison : elles ne veulent plus se perdre dans leurs émotions.
La thérapie émotionnelle : Lille & visio — laquelle choisir ?
Les deux formes d’accompagnement ont la même profondeur, mais des nuances différentes.
-En cabinet à Lille :
* un cadre neutre,
* un lieu dédié,
* une coupure claire avec ton quotidien,
* un espace où tu peux déposer physiquement ce que tu vis.
- En visio :
* un espace intime,
* une installation confortable,
* une continuité thérapeutique même en période chargée,
* une efficacité équivalente au cabinet,
* une liberté émotionnelle plus grande pour beaucoup de personnes.
→Le point essentiel :
Ce qui fait la qualité d’une thérapie, ce n’est pas le lieu.
C’est la relation.
La profondeur du travail ne dépend pas de la distance,
mais de la présence, de la sécurité, de la lecture émotionnelle, du lien.
FAQ — les questions fréquentes
Comment savoir si j’ai besoin d’une thérapie émotionnelle ?
Tu peux consulter si tu te sens submergé(e),
si tu portes trop de choses seul(e),
si tu n’arrives plus à réguler ton monde intérieur,
si tu te sens épuisé(e) émotionnellement
Être hypersensible signifie-t-il que je suis fragile ?
Non.
L’hypersensibilité est une puissance qui devient douloureuse lorsqu’elle n’a pas d’espace ou quand tu n’as jamais appris à la canaliser.
La visio est-elle vraiment aussi efficace qu’une séance en cabinet ?
Oui.
Les recherches le confirment, et mon expérience aussi. La visio offre un cadre sécurisant, stable, flexible et tout aussi profond.
Combien de temps dure une thérapie individuelle ?
Il n’y a pas de durée fixe. Certaines personnes avancent en quelques semaines,
d’autres en plusieurs mois.
L’important est la transformation, pas la vitesse
Est-ce que la thérapie émotionnelle peut m’aider si je me sens “trop” ?
Oui.
C’est même l’un des objectifs principaux :
te permettre de vivre ton intensité sans te juger, sans te réduire, sans t'effacer.
Et si j’ai peur de “craquer” pendant la séance ?
C’est normal d’avoir peur.
Mais ce que tu appelles “craquer”, moi je l’appelle s’ouvrir.
Et tu n’es jamais seul(e) dans ce mouvement.
Pour aller plus loin
La théorie, les exercices, la compréhension…
tout ça est précieux.
Mais la transformation profonde naît d’un accompagnement.
D’un espace sûr, stable, où tu n’as plus besoin de jouer un rôle
➤ Si tu veux arrêter de te laisser déborder par tes émotions, je peux t’accompagner.
En cabinet à Lille ou en visio, tu trouveras :
* un espace qui ne t’écrase pas,
* une présence qui t’aide à respirer dans ce que tu vis,
* une lecture fine de tes émotions,
* un chemin concret pour te retrouver,
* un travail thérapeutique profond et durable.
C’est un pas vers toi.
Un pas vers plus de clarté,
plus de sécurité intérieure,
plus de liberté émotionnelle.
→ Prendre rendez-vous en visio
→Prendre rendez-vous en présentiel
Les séances se déroulent dans un cadre confidentiel, respectueux de votre rythme et de vos limites.
Céline FOLLY
Thérapeute-Coach à distance ou à Lille, spécialisée en hypnose, PNL, accompagnement émotionnel, Je vous propose des séances adaptées à vos besoins.
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