Relation amoureuse : schémas, couple et coaching relationnel

Tu répètes les mêmes schémas amoureux ? Comprends ta relation à l’amour et découvre comment le coaching relationnel peut t’aider à aimer et durer.

RELATIONSHIPS

Céline FOLLY

12/17/202513 min read

Coaching amoureux - Céline FOLLY
Coaching amoureux - Céline FOLLY

Relation amoureuse saine : ce que ce n’est pas (et ce que c’est vraiment)

Une relation amoureuse saine n’est pas :

  • une relation sans conflit,

  • une relation où tout est fluide en permanence,

  • une relation où l’un sauve l’autre,

  • une relation où il faut s’adapter pour être aimé.

Et surtout, ce n’est pas :

  • se perdre pour que ça marche,

  • se fermer pour ne plus souffrir,

  • se durcir pour tenir.

Une relation amoureuse saine, ce n’est pas une performance.
C’est une qualité de lien.

Elle repose sur :

  • une forme de sécurité émotionnelle,

  • la possibilité d’être soi sans se suradapter,

  • la capacité à dire ce qui est juste,

  • la responsabilité de ce que l’on ressent,

  • une réciprocité réelle.

Et ça, contrairement à ce qu’on croit, ça ne dépend pas uniquement de l’autre.

Les schémas amoureux : pourquoi on rejoue (même quand on n’en a plus envie)

Un schéma amoureux, ce n’est pas une malédiction.
C’est un mode de fonctionnement relationnel appris, souvent très tôt.

Il peut prendre différentes formes :

  • attraction pour des personnes indisponibles,

  • relations intenses qui s’essoufflent vite,

  • peur de s’engager quand ça devient sérieux,

  • difficulté à quitter une relation qui fait souffrir,

  • alternance entre fusion et distance,

  • sensation d’être “de trop” ou “pas assez”.

Ce qui est important de comprendre, c’est que :
le schéma n’est pas là pour te nuire
➤ il est là pour te protéger.

À un moment de ta vie, aimer de cette façon a été la meilleure option possible.

Le problème, c’est quand ce schéma continue de fonctionner alors qu’il n’est plus adapté.

C’est souvent après :

  • plusieurs relations similaires,

  • une rupture digérée mais éclairante,

  • une période de célibat réflexive,

que la question apparaît :

« Et si le point commun, ce n’était pas les autres… mais ma façon d’aimer ? »

Pourquoi l’amour ne suffit pas dans une relation amoureuse

C’est une idée difficile à accepter, surtout quand on a longtemps cru que “quand on aime vraiment, tout s’arrange”.

Et pourtant, beaucoup de relations ne s’arrêtent pas par manque d’amour.
Elles s’arrêtent parce que l’amour, seul, ne suffit pas à faire tenir un lien dans la durée.

Aimer quelqu’un ne garantit pas :

  • la capacité à communiquer,

  • la sécurité émotionnelle,

  • le respect des limites,

  • la responsabilité affective,

  • la maturité relationnelle.

On peut s’aimer sincèrement et pourtant :

  • se faire mal,

  • se perdre l’un dans l’autre,

  • se refermer par peur,

  • s’épuiser à vouloir “faire fonctionner” la relation.

Ce qui fait durer une relation amoureuse, ce n’est pas l’intensité du sentiment.
C’est la qualité du lien.

Une relation tient quand :

  • chacun est responsable de ce qu’il ressent,

  • les désaccords peuvent être exprimés sans menace,

  • l’amour ne sert pas à combler un vide intérieur,

  • le lien ne repose pas sur la peur de perdre l’autre.

C’est souvent là que naît la désillusion :
on se rend compte que l’amour est nécessaire, mais qu’il doit être accompagné de compétences relationnelles.

Et ces compétences ne sont pas innées.
Elles s’apprennent, se construisent, se travaillent.

Comprendre que l’amour ne suffit pas, ce n’est pas devenir cynique.
C’est sortir de l’illusion romantique pour entrer dans une relation plus consciente, plus stable, plus respectueuse de soi et de l’autre.

Green flags relationnels : les vrais signes d’une relation amoureuse saine

On parle beaucoup de red flags.
Beaucoup moins de ce qui fonctionne vraiment dans une relation amoureuse saine.

Les green flags ne sont pas des critères parfaits.
Ce sont des signaux subtils, mais essentiels, qui indiquent que la relation repose sur une base solide.

Voici quelques green flags relationnels que j’observe très souvent dans les relations qui durent :

  • Tu peux exprimer un désaccord sans avoir peur de perdre l’autre.

  • Les silences ne sont pas vécus comme des menaces ou des abandons.

  • Chacun peut parler de ses émotions sans rendre l’autre responsable.

  • Il n’y a pas besoin de se justifier en permanence pour poser une limite.

  • Les paroles et les actes sont cohérents dans le temps.

  • La relation ne te coupe pas de toi-même, elle ne t’éteint pas.

  • Il existe une vraie réciprocité émotionnelle, pas un effort à sens unique.

Dans une relation saine, il n’y a pas absence de conflits.
Il y a la capacité de traverser les désaccords sans mettre en danger le lien.

À l’inverse, quand une relation demande constamment :

  • de s’adapter,

  • de se taire,

  • de minimiser ce que l’on ressent,

  • de “prendre sur soi” pour préserver l’autre,

ce n’est pas de l’amour qui tient le lien.
C’est la peur.

Les green flags ne sont pas toujours spectaculaires.
Ils se reconnaissent souvent à une sensation simple :
tu te sens globalement plus stable, plus clair, plus respecté dans la relation.

Rester soi dans la relation : le véritable enjeu amoureux

Beaucoup de personnes pensent que le problème, en amour, c’est :

  • de trop aimer,

  • de ne pas assez aimer,

  • ou de tomber sur “la mauvaise personne”.

Mais le véritable enjeu est souvent ailleurs :
arriver à rester soi dans la relation.

Rester soi, ce n’est pas :

  • devenir rigide,

  • refuser tout compromis,

  • se fermer pour se protéger.

C’est savoir :

  • où tu t’arrêtes,

  • quand tu te forces,

  • quand tu dis oui contre toi,

  • quand tu t’oublies pour maintenir le lien.

C’est là que se joue la différence entre :

  • une relation qui nourrit,

  • et une relation qui épuise.

Le concept de Cœur Vrai repose sur cette idée simple mais exigeante :
ni cœur naïvement ouvert,
ni cœur fermé par peur,
mais un cœur présent, conscient, responsable.

Un cœur capable :

  • de ressentir sans se perdre,

  • d’aimer sans se sacrifier,

  • de poser des limites sans se couper de l’autre.

Aimer sans se perdre n’est pas une injonction morale.
C’est un apprentissage relationnel.

Et souvent, c’est seulement quand on cesse de se trahir dans la relation
que l’on découvre ce que signifie vraiment aimer et durer.

Aimer sans se perdre : la frontière essentielle

C’est ici que beaucoup de personnes se trompent.

Elles pensent que le problème, c’est :

  • trop aimer,

  • ne pas assez aimer,

  • ou aimer la “mauvaise personne”.

Alors qu’en réalité, le cœur du sujet est souvent ailleurs :
dans la façon de rester soi dans la relation.

Aimer sans se perdre, ce n’est pas :

  • devenir égoïste,

  • se fermer,

  • ne plus faire de compromis.

C’est :

  • savoir où tu t’arrêtes,

  • sentir quand tu te forces,

  • repérer quand tu dis oui contre toi,

  • poser des limites sans te couper de l’autre.

Cette frontière-là est centrale en coaching relationnel et en love coaching, parce qu’elle conditionne :

  • la durée de la relation,

  • la qualité du lien,

  • le respect mutuel,

  • et ta propre stabilité intérieure.

➤ Ici, on touche au lien entre relation à soi et relation amoureuse,
sans les confondre.

Quand le cœur se ferme après les déceptions

Certaines personnes ne souffrent plus “bruyamment”.
Elles ne pleurent plus.
Elles ne sont plus en crise.

Mais elles se sont fermées.

Elles disent :

  • « Je n’y crois plus. »

  • « L’amour, c’est trop compliqué. »

  • « Je préfère être seul(e), au moins je suis tranquille. »

Ce n’est pas un manque de désir.
C’est une protection.

Le cœur se ferme quand :

  • on a trop donné sans retour,

  • on s’est oublié trop longtemps,

  • on a confondu amour et sacrifice,

  • on a été déçu après avoir espéré.

Le problème n’est pas de s’être fermé.
Le problème, c’est de rester fermé par peur, alors que le désir d’aimer est toujours là.

C’est exactement là que commence le chemin du Cœur Vrai :

  • ni cœur ouvert naïf,

  • ni cœur fermé défensif,

  • mais un cœur présent, lucide et responsable. dans la façon de rester soi dans la relation.

Aimer sans se perdre, ce n’est pas :

  • devenir égoïste,

  • se fermer,

  • ne plus faire de compromis.

C’est :

  • savoir où tu t’arrêtes,

  • sentir quand tu te forces,

  • repérer quand tu dis oui contre toi,

  • poser des limites sans te couper de l’autre.

Cette frontière-là est centrale en coaching relationnel et en love coaching, parce qu’elle conditionne :

  • la durée de la relation,

  • la qualité du lien,

  • le respect mutuel,

  • et ta propre stabilité intérieure.

➤ Ici, on touche au lien entre relation à soi et relation amoureuse,
sans les confondre.

Reconstruction relationnelle : après la rupture, quand la tempête est passée

Il y a un moment particulier, souvent silencieux, que beaucoup de personnes traversent.

La rupture n’est plus douloureuse comme au début.
Les émotions sont moins vives.
La vie a repris son cours.

Et pourtant… quelque chose reste.

Une question diffuse :

« Qu’est-ce que je fais maintenant de ma vie amoureuse ? »

C’est ici que commence la reconstruction relationnelle consciente.
Pas la survie émotionnelle.
Pas la gestion de la douleur.

Mais la compréhension.

En coaching relationnel, c’est souvent à ce moment-là que les personnes consultent :

  • quand la rupture est digérée,

  • quand la colère est retombée,

  • quand le manque n’est plus envahissant,

  • mais que les schémas deviennent visibles.

C’est une phase clé :
➤ celle où l’on peut enfin observer lucidement sa façon d’aimer.

Ce que montrent les études sur les schémas amoureux répétitifs

Les répétitions relationnelles ne sont pas une impression subjective.

Plusieurs travaux en psychologie relationnelle et en théorie de l’attachement montrent que :

  • nous avons tendance à reproduire des dynamiques connues, même si elles sont inconfortables,

  • le cerveau privilégie le familier au sécurisant,

  • ce que nous appelons “attirance” est souvent lié à des repères émotionnels anciens.

➤ Une étude publiée dans Journal of Social and Personal Relationships indique que les individus ont une forte probabilité de recréer des dynamiques similaires à celles vécues dans leurs relations précédentes, tant que ces schémas ne sont pas conscientisés.

Autrement dit :

Ce n’est pas que tu “choisis mal”.
C’est que tu choisis ce que ton système relationnel connaît.

C’est exactement ce que viennent travailler le love coaching et le coaching relationnel :

  • rendre visible ce qui est automatique,

  • redonner du choix là où il n’y en avait plus.

Blessures émotionnelles et relation amoureuse : sans tout expliquer par le passé

Il est tentant de tout ramener à l’enfance.
Mais ce serait simpliste.

Oui, nos premières relations influencent :

  • notre manière de nous attacher,

  • notre rapport à la sécurité,

  • notre tolérance à la distance ou à la proximité.

Mais en relation amoureuse, ce n’est pas le passé seul qui agit.
C’est le passé activé dans le présent.

Concrètement, cela donne :

  • une réaction disproportionnée à un silence,

  • une peur soudaine de perdre l’autre,

  • un besoin de se refermer dès que ça devient sérieux,

  • une difficulté à faire confiance, même quand rien ne le justifie.

Ces réactions ne sont pas des défauts.
Ce sont des signaux relationnels.

En coaching relationnel, on ne cherche pas à :

  • analyser à l’infini,

  • fouiller chaque souvenir,

  • expliquer chaque émotion.

On cherche à :

  • comprendre ce qui se joue ici et maintenant,

  • repérer les déclencheurs,

  • remettre de la conscience là où il y avait de la réaction.

Cœur fermé, cœur en alerte, cœur vrai : la traversée relationnelle

Après plusieurs déceptions, beaucoup de personnes se retrouvent dans un état intermédiaire.

Elles ne sont plus dépendantes.
Elles ne sont plus en souffrance aiguë.
Mais elles ne sont pas ouvertes non plus.

C’est ce que j’observe très souvent en accompagnement :

  • un cœur en alerte,

  • une vigilance constante,

  • une difficulté à se laisser toucher.

Le Cœur Vrai, ce n’est pas un idéal romantique.
C’est une posture relationnelle.

Il ne s’agit pas de :

  • rouvrir coûte que coûte,

  • faire confiance aveuglément,

  • “y croire” malgré soi.

Il s’agit de :

  • rester présent à ce que l’on ressent,

  • ne plus se trahir pour maintenir le lien,

  • ne plus se fermer par peur.

➤ Aimer sans se perdre,
➤ aimer sans se durcir,
➤ aimer sans s’oublier.

C’est exactement cette traversée que permet un accompagnement relationnel sérieux, qu’il soit thérapeutique ou en coaching relationnel.

Love coaching, coach relationnel, thérapie relationnelle : comment choisir ?

Ces termes sont souvent confondus.
Pourtant, ils ne recouvrent pas exactement la même chose.

Le love coaching / coaching relationnel

Il s’adresse souvent à des personnes :

  • qui veulent comprendre leurs schémas amoureux,

  • qui souhaitent améliorer leurs relations,

  • qui veulent poser des choix clairs,

  • qui ne sont plus dans l’urgence émotionnelle.

Il est orienté :

  • clarté,

  • responsabilité,

  • posture relationnelle,

  • mise en action.

La thérapie relationnelle individuelle

Il est pertinent quand :

  • les réactions sont très intenses,

  • les blessures sont encore sensibles,

  • le corps et le système nerveux sont très sollicités,

  • le passé interfère fortement avec le présent.

➤ Dans la pratique, les deux approches se complètent souvent.
➤ L’important n’est pas l’étiquette, mais le moment où tu te situes.

Exercices pratiques pour sortir des schémas amoureux

Exercice 1 — Cartographier ses relations passées

Prends une feuille et note :

  • tes 3 relations les plus marquantes,

  • ce qui t’a attiré au départ,

  • ce qui a posé problème,

  • comment la relation s’est terminée.

Puis pose-toi cette question :

Qu’est-ce qui se répète, même sous des formes différentes ?

Cet exercice est très utilisé en coaching relationnel, car il fait apparaître les schémas sans jugement.

Exercice 2 — Identifier ton point de bascule relationnel

Réponds honnêtement :

  • À quel moment, dans une relation, tu commences à douter ?

  • Quand est-ce que tu te refermes ?

  • Quand est-ce que tu t’accroches ?

➤ Ce point de bascule est une clé majeure pour aimer autrement.

Exercice 3 — Revenir à soi dans la relation

Chaque fois que tu te poses une question sur l’autre, demande-toi aussi :

  • Qu’est-ce que je ressens, moi ?

  • Qu’est-ce que je suis en train de faire pour rester dans le lien ?

  • Est-ce que je me respecte dans cette situation ?

C’est une base simple, mais essentielle pour rester soi dans la relation amoureuse.

Pourquoi se faire accompagner change vraiment les choses

Lire, comprendre, réfléchir… aide.
Mais ça ne suffit pas toujours.

Parce que les schémas amoureux ne sont pas que cognitifs.
Ils sont émotionnels et relationnels.

Un accompagnement permet :

  • de ne plus être seul(e) face à ses doutes,

  • de poser des mots justes,

  • de repérer ses angles morts,

  • de transformer sa posture relationnelle.

C’est pour cela que le coaching relationnel, le love coaching ou la thérapie relationnelle individuelle sont des leviers puissants :


➤ pas pour te changer,
➤ mais pour t’aider à aimer autrement, avec plus de conscience

Comprendre sa relation amoureuse pour ne plus avancer à l’aveugle

Il arrive un moment où l’on ne veut plus “essayer encore une fois en espérant que ça ira mieux”.

Pas parce qu’on est pessimiste.
Mais parce qu’on est fatigué de ne pas comprendre ce qui se joue.

C’est souvent à ce moment-là que la relation amoureuse devient une vraie question intérieure :

  • Pourquoi je doute autant ?

  • Pourquoi je me referme quand ça devient sérieux ?

  • Pourquoi j’attire toujours le même type de relation ?

  • Pourquoi aimer me demande autant d’efforts ?

Ces questions ne sont pas des signes de faiblesse.
Elles sont le signe d’une maturité relationnelle qui émerge.

Dans mon travail en coaching relationnel, je vois très clairement une chose :
➤ les personnes qui consultent à ce stade ne cherchent plus à être rassurées.
➤ elles cherchent à être lucides.

Ce qui change quand on comprend enfin ses schémas amoureux

Comprendre ses schémas amoureux ne veut pas dire :

  • se coller une étiquette,

  • se définir par ses blessures,

  • ou expliquer toute sa vie par le passé.

Cela veut dire :

  • reconnaître ce qui se répète,

  • repérer ce qui se déclenche en soi dans la relation,

  • reprendre de la responsabilité là où l’on se sentait impuissant.

Quand cette compréhension s’installe, plusieurs choses changent :

  • on ne confond plus intensité et attachement,

  • on ne prend plus chaque difficulté comme une remise en question de sa valeur,

  • on repère plus vite les relations déséquilibrées,

  • on ose poser des limites plus tôt,

  • on arrête d’attendre que l’autre “répare” quelque chose en nous.

C’est exactement là que le coaching relationnel et le love coaching prennent tout leur sens :
non pas pour “trouver l’amour”,
mais pour transformer sa façon d’entrer en relation.

Si ce que tu viens de lire résonne, c’est probablement que tu n’es plus dans le déni…
mais dans une phase de clarification relationnelle.

Si tu veux comprendre ce qui se joue dans ta façon d’aimer et retrouver de la clarté sur tes relations, la Masterclass est un premier pas structurant, sans pression.

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Pourquoi rester seul(e) ne règle pas toujours le problème

Beaucoup de personnes se disent :

« Je vais rester seul(e), au moins je serai tranquille. »

Parfois, c’est une décision saine.
Parfois, c’est une protection temporaire nécessaire.

Mais rester seul(e) ne suffit pas toujours à transformer les schémas amoureux.

Pourquoi ?
Parce que :

  • les schémas relationnels s’activent dans le lien,

  • certaines peurs n’apparaissent que quand on s’attache,

  • certaines réactions ne se révèlent que face à l’autre.

Ce n’est donc pas l’amour qui fait mal.
C’est ce que la relation vient réveiller.

Comprendre cela évite deux pièges :

  • se forcer à être en couple pour “se réparer”,

  • se fermer définitivement par peur de revivre la même chose.

L’enjeu n’est pas d’aimer à tout prix.
L’enjeu est de savoir comment on aime.

L’accompagnement relationnel : à quoi ça sert vraiment ?

Il existe beaucoup de discours autour du couple, de l’amour, de la relation amoureuse.
Mais très peu d’espaces pour penser sa relation autrement que dans l’urgence ou la plainte.

Un accompagnement relationnel sérieux permet :

  • de ralentir,

  • de clarifier,

  • de mettre des mots justes sur ce qui se joue,

  • de sortir du flou intérieur.

Que ce soit en thérapie relationnelle individuelle ou en coaching relationnel, le travail ne consiste pas à dire quoi faire.

Il consiste à :

  • comprendre ses mécanismes relationnels,

  • distinguer ce qui appartient à soi et à l’autre,

  • identifier ses vrais besoins affectifs,

  • poser des choix alignés, même inconfortables.

C’est ce qui permet de passer :

  • d’une relation subie à une relation choisie,

  • d’un lien flou à un lien conscient,

  • d’un cœur fermé à un Cœur Vrai : présent, responsable, incarné.

FAQ – Relation amoureuse, schémas et coaching relationnel

Pourquoi je répète toujours les mêmes schémas amoureux ?

Parce que ton système relationnel cherche ce qu’il connaît.
Sans prise de conscience, le cerveau privilégie le familier au sécurisant.
Comprendre ses schémas permet de réintroduire du choix.

Est-ce que le coaching relationnel peut vraiment aider ?

Oui, lorsqu’il est utilisé au bon moment.
Le coaching relationnel aide à clarifier sa posture, ses limites et ses choix amoureux, surtout quand la douleur aiguë est passée mais que les répétitions persistent.

Peut-on reconstruire sa vie amoureuse après une rupture ?

Oui, surtout après que la rupture a été digérée.
La reconstruction relationnelle ne consiste pas à oublier, mais à comprendre ce qui s’est joué pour ne pas le rejouer.

Comment aimer sans se perdre ?

En apprenant à :

  • repérer quand tu te suradaptes,

  • poser des limites claires,

  • rester connecté(e) à toi dans la relation,

  • ne plus confondre amour et sacrifice.

C’est un apprentissage relationnel, pas une injonction.

Pour aller plus loin

Si ce que tu viens de lire résonne, c’est probablement que tu n’es plus dans le déni…
mais dans une phase de clarification relationnelle.

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