Psychopraticienne à Lille & en visio – Thérapie émotionnelle & estime de soi
« Difficulté à vous aimer, à poser des limites ou à sortir des relations qui blessent ? Thérapie émotionnelle à Lille & en visio pour restaurer votre estime de soi. »
ESTIME DE SOI
Céline FOLLY
12/10/202512 min read
Le grand guide de l’estime de soi : comprendre, apaiser, se reconstruire
On parle beaucoup de “confiance en soi”.
On parle très peu de ce qui la porte vraiment : l’estime de soi.
Vous pouvez avoir un bon job, être un(e) ami(e) fiable, un parent investi, réussir beaucoup de choses…
et pourtant vous réveiller le matin avec cette sensation sourde :
« Je sais que je vaux quelque chose… mais je ne le ressens pas. »
En séance de thérapie émotionnelle, à Lille ou en visio, j’entends souvent :
« Logiquement, je sais que je vaux quelque chose… mais je ne le sens pas. »
« Je peux soutenir tout le monde, mais pour moi, je n’y arrive pas. »
« J’accepte des choses que je sais toxiques, mais je n’arrive pas à faire autrement. »
« Je me dévalorise tout le temps, même quand on me dit que j’ai bien fait. »
Ce n’est pas un caprice.
Ce n’est pas un “manque de volonté”.
Ce n’est pas “un problème de caractère”.
→ C’est le signe d’une estime de soi fragilisée.
→ Le grand guide de l’estime de soi : comprendre, apaiser, se reconstruire
On parle beaucoup de “confiance en soi”.
On parle très peu de ce qui la porte vraiment : l’estime de soi.
Vous pouvez avoir un bon job, être un(e) ami(e) fiable, un parent investi, réussir beaucoup de choses…
et pourtant vous réveiller le matin avec cette sensation sourde :
« Je sais que je vaux quelque chose… mais je ne le ressens pas. »
En séance de thérapie émotionnelle, à Lille ou en visio, j’entends souvent :
« Logiquement, je sais que je vaux quelque chose… mais je ne le sens pas. »
« Je peux soutenir tout le monde, mais pour moi, je n’y arrive pas. »
« J’accepte des choses que je sais toxiques, mais je n’arrive pas à faire autrement. »
« Je me dévalorise tout le temps, même quand on me dit que j’ai bien fait. »
Ce n’est pas un caprice.
Ce n’est pas un “manque de volonté”.
Ce n’est pas “un problème de caractère”.
→ C’est le signe d’une estime de soi fragilisée.
→ Et ça se travaille. Vraiment.
Je vous parle ici avec mon regard de psychopraticienne à Lille & en visio, spécialisée en thérapie émotionnelle, surcharge mentale, dépendance affective, hypersensibilité et blessures d’enfance.
Estime de soi vs confiance en soi : pourquoi vous pouvez réussir… et continuer à vous sentir “insuffisant(e)”
On mélange souvent les deux, et cela crée des malentendus profonds.
L’estime de soi : comment vous vous considérez, même quand personne ne regarde
L’estime de soi, c’est la valeur que vous vous reconnaissez en tant que personne.
C’est :
la manière dont vous vous parlez intérieurement,
ce que vous pensez mériter,
la façon dont vous vous regardez après un échec,
le niveau de respect que vous vous accordez.
Vous pouvez avoir une bonne situation…
et pourtant une estime de vous très basse.
La confiance en soi : ce que vous croyez être capable de faire
La confiance en soi touche à vos capacités :
“Je suis capable de parler en public.”
“Je peux gérer ce projet.”
“Je sais que je peux apprendre.”
Vous pouvez être très compétent(e)…
et pourtant avoir une petite voix qui murmure :
“Tu n’es pas assez bien.”
→ Ce n’est pas un manque de confiance.
→ C’est une blessure d’estime.
Les trois couches invisibles de l’estime de soi
On croit souvent que l’estime de soi se résume à “s’aimer davantage”.
En réalité, elle repose sur trois couches qui interagissent ensemble, et lorsqu’une seule est fragilisée, tout l’édifice se met à trembler.
1. L’estime de soi fondamentale
C’est la base.
Celle qui dit :
→ « Je mérite de vivre. Je mérite d’être là. »
Elle se construit très tôt, avant même que vous puissiez parler.
Un parent qui répond, qui rassure, qui regarde avec douceur — ou au contraire un parent absent, stressé, critique — influence cette couche profonde.
2. L’estime de soi relationnelle
C’est celle qui dit :
→ « Je mérite le respect. Je mérite de compter pour l’autre. »
Elle est très impactée par les expériences d’amour, d’amitié, de trahison, de loyauté, de dévalorisation ou de rejet.
Une rupture brutale ou une relation toxique suffit parfois à fissurer cette couche.
3. L’estime de soi comportementale
Elle touche à ce que vous croyez être capable de faire.
Elle fluctue selon :
• vos réussites,
• vos échecs,
• votre entourage,
• vos responsabilités actuelles.
Quand une de ces couches est abîmée, vous pouvez vous sentir instable sans comprendre pourquoi.
C’est pour cela que vous pouvez réussir dans plein de domaines… et vous sentir “pas assez” intérieurement.
Reconstruire l’estime de soi, c’est travailler ces trois plans en même temps, pas seulement “penser positif”.
Faut-il s’aimer soi-même avant d’aimer les autres ?
On lit partout :
“Vous devez vous aimer vous-même avant d’aimer quelqu’un.”
Honnêtement ?
C’est faux.
Et c’est culpabilisant.
Personne ne s’aime à 100 %.
Même les personnes les plus stables ont des zones de doute.
Mais oui :
il existe un minimum vital.
Sans un minimum d’amour de soi, vous risquez :
d’accepter l’inacceptable,
de normaliser le manque de respect,
de vous faire petit(e) pour garder le lien,
de confondre attention et amour,
de vous sacrifier pour être “suffisamment bien”.
L’amour de soi, ce n’est pas se trouver extraordinaire.
C’est se considérer comme quelqu’un qui mérite :
du respect,
une parole douce,
un cadre sécurisant,
des relations équilibrées.
Ce qui fragilise l’estime de soi : ce n’est pas “juste l’enfance”
Oui, beaucoup se joue très tôt.
Mais la vie adulte peut la fragiliser tout autant.
Ce que l’enfance a pu installer
Certaines configurations blessent profondément :
des parents critiques ou exigeants,
un amour conditionnel,
la comparaison constante,
la négligence émotionnelle,
un climat instable.
L’enfant enregistre :
“Je dois bien faire pour mériter.”
“Mes besoins dérangent.”
“Je dois être parfait(e).”
Cet enfant, c’est toujours vous.
Ce que la vie adulte ajoute
Même avec une enfance “correcte”, certaines expériences cassent l’image de soi :
rupture brutale,
relation toxique,
infidélité,
burn-out,
licenciement humiliant,
années de surcharge émotionnelle.
Les études montrent que l’estime de soi est un construit relationnel.
Elle se fragilise… ou se reconstruit dans le lien.
Les signes d’une estime de soi fragilisée
Ce n’est pas toujours spectaculaire.
Souvent, cela se lit dans les détails :
auto-critique permanente,
minimisation des réussites,
comparaison systématique,
difficulté à recevoir un compliment,
excuses excessives,
suradaptation,
dévalorisation intérieure.
Pourquoi on se dévalorise même quand tout va bien
Beaucoup de personnes que j’accompagne me disent :
« Tout va bien dans ma vie… mais à l’intérieur, je me sens nul(le). »
Ce paradoxe est fréquent, et il n’a rien d’illogique.
✔ Une raison neurologique
Quand votre cerveau a été habitué dès l’enfance à guetter le danger, il continue de le faire même lorsque tout va bien.
→ Les neurosciences montrent que le cerveau retient deux fois mieux les expériences négatives que les positives (biais de négativité).
Résultat :
• vous oubliez vos réussites,
• vous amplifiez vos erreurs,
• vous vous jugez plus durement que les autres.
✔ Une raison émotionnelle
Si votre histoire vous a appris que “vous devez faire mieux pour valoir quelque chose”, alors même vos réussites ne suffisent pas à nourrir l’estime de vous.
C’est comme verser de l’eau dans un verre fissuré.
✔ Une raison relationnelle
On se dévalorise souvent parce qu’on a grandi dans des environnements où :
• la comparaison était constante,
• l’amour était conditionnel,
• le silence valait reproche,
• l’erreur était punie au lieu d’être accompagnée.
Votre cerveau fait alors ce qu’il sait faire : il anticipe la critique, même quand personne ne vous critique.
Ce n’est pas un manque de logique.
C’est une habitude nerveuse
Pourquoi vous acceptez parfois ce que vous n’auriez jamais accepté avant
Parce que lorsque l’estime de soi chute :
on confond amour et validation,
on reste dans des relations qui abîment,
on se raccroche à des liens instables.
Ce n’est pas “parce que vous aimez trop”.
C’est souvent parce que vous ne vous voyez plus comme quelqu’un qui mérite mieux.
Les trois couches de l’estime de soi : comprendre ce qui se joue en profondeur
Les psychologues contemporains distinguent trois grandes couches d’estime de soi.
Les connaître permet de comprendre où se situe réellement la fragilité.
1. L’estime fondamentale (celle de l’enfance)
C’est la base.
Elle se construit via :
la présence,
la douceur,
la fiabilité,
la manière dont on a été regardé(e),
la permission d’être soi.
Quand cette couche est fragilisée, l’adulte ressent souvent :
un doute permanent,
une peur de déranger,
une tendance à se juger sévèrement,
la sensation de “valoir moins” que les autres.
Comme le dit Carl Rogers :
“L’individu a en lui-même de vastes ressources, si un climat facilitateur lui permet de les découvrir.”
2. L’estime relationnelle
Elle concerne ce que les autres nous renvoient.
Elle se renforce lorsque vous êtes entouré(e) de :
relations respectueuses,
personnes qui vous parlent avec douceur,
partenaires émotionnellement disponibles.
Elle s’effondre dans :
les relations toxiques,
les critiques répétées,
la manipulation,
l’infidélité,
la dévalorisation subtile.
Une relation peut soit révéler votre valeur, soit l’user.
3. L’estime comportementale
C’est celle que vous construisez au quotidien :
poser une limite,
dire non quand il le faut,
prendre une décision alignée,
respecter vos propres besoins.
Chaque acte respectueux envers vous renforce cette couche.
Chaque micro-abandon de soi la fissure.
→ C’est ici que la thérapie individuelle joue un rôle majeur :
elle vous aide à reconstruire des comportements alignés, même si votre estime fondamentale a été blessée.
Les mécanismes invisibles qui détruisent l’estime de soi
Certaines dynamiques quotidiennes minent l’estime sans que vous ne vous en rendiez compte.
1. Le perfectionnisme
On croit que c’est une qualité.
En réalité, c’est une forme de peur.
peur de décevoir,
peur de ne pas être assez,
peur d'être critiqué(e).
Le perfectionnisme est une tentative de mériter l’amour par la performance.
2. La comparaison constante
Les réseaux sociaux ont aggravé ce phénomène :
vous ne vous comparez plus à des gens… mais à des illusions.
Votre cerveau retient :
“Je ne suis pas comme eux → je ne vaux pas autant.”
3. La surcharge mentale et émotionnelle
Quand vous tenez tout, tout le temps :
organisation,
charge familiale,
charge émotionnelle des autres…
… votre énergie chute, et votre perception de vous aussi.
Ce phénomène est connu :
quand le système nerveux est saturé, l’estime diminue mécaniquement.
4. La sur-responsabilisation
Vous prenez tout sur vous :
les émotions de l’autre, les conflits, les décisions.
Ce mode de fonctionnement conduit à une conclusion intérieure :
→ “Si quelque chose va mal, c’est ma faute.”
5. Les micro-abandons de soi
Ce sont de petites choses :
dire oui en pensant non,
ne pas rappeler une limite,
minimiser un besoin,
se taire pour garder la paix.
Un micro-abandon n’est rien.
Vingt par semaine…
et l’estime s’effondre.
Le rôle des neurosciences dans la reconstruction de l’estime de soi
Les recherches montrent que l’estime de soi n’est pas figée.
Elle se reconstruit via trois leviers majeurs.
1. La neuroplasticité
Le cerveau crée constamment de nouveaux circuits.
Vos schémas intérieurs peuvent changer, même à l’âge adulte.
Une étude du Journal of Personality and Social Psychology montre que
l’image de soi évolue lorsque l’on modifie nos comportements relationnels.
2. Le système nerveux (théorie polyvagale)
Stephen Porges l’a démontré :
le sentiment de sécurité intérieure dépend du nerf vague.
Quand vous avez vécu :
des ruptures,
des critiques,
des instabilités,
des relations toxiques…
… votre système nerveux reste en mode alerte.
Il déforme la perception de vous.
→ Ce n’est pas vous qui êtes insuffisant(e).
C’est votre système nerveux qui est en défense.
3. Les émotions comme signaux
Les travaux de James Gross montrent que
l’émotion peut être régulée par la mise en conscience et la reformulation.
C’est exactement ce que l’on fait en thérapie émotionnelle.
4. Les relations sécurisantes comme facteur de guérison
Le Harvard Adult Development Study (la plus longue étude du monde) l’a démontré :
→ La qualité des relations influence directement l’estime de soi et la santé mentale.
Une thérapie individuelle — en visio ou en cabinet — constitue une relation stable, prévisible, non jugeante, ce qui permet au système nerveux de se recalibrer.
Le rôle du système nerveux : quand votre corps ne vous voit pas comme vous êtes
Quand vous vivez beaucoup de stress ou de surcharge émotionnelle, votre système nerveux se dérègle.
Résultat :
mental en boucle,
sensations de vulnérabilité,
doute chronique,
perception négative de soi.
→ En mode survie, le cerveau amplifie les signaux de danger… même quand il n’y en a pas.
Comment le corps influence votre estime (et pas seulement la psychologie)
On a tendance à séparer “mental” et “émotions”, mais ils sont indissociables.
Quand vous vivez du stress chronique ou de la surcharge émotionnelle :
• le cortisol augmente,
• votre cerveau réduit l’accès aux zones liées à la prise de recul,
• vous vous sentez “moins capable”,
• votre perception de vous devient plus dure.
→Des études montrent que la perception de soi varie jusqu’à 30 % selon l’état physiologique du moment (fatigue, anxiété, alimentation, sommeil).
Ce n’est donc pas vous qui “êtes nul(le)”.
C’est votre système qui est surchargé, et qui filtre tout en version sombre.
La thérapie émotionnelle aide à remettre le corps au centre : respiration, ancrage, régulation.
Quand le corps se calme, la vision de soi change instantanément.
Pourquoi il est si difficile de poser des limites quand l’estime est basse
On dit souvent :
« Pose tes limites. »
Mais quand l’estime de soi est fragile, c’est quasiment impossible.
✔ Parce que vous avez peur de décevoir
Votre corps associe le “non” à un danger de rejet.
✔ Parce que vous croyez ne pas avoir le droit
Si l’enfance vous a appris que vos besoins “dérangent”, vous les mettez automatiquement de côté.
✔ Parce que vous avez appris à aimer en vous adaptant
Beaucoup d’enfants deviennent “sages”, “faciles”, “braves” pour mériter l’attention.
En thérapie, on travaille à réhabiliter votre droit d’exister, avant même d’apprendre à poser des limites.
Comment reconstruire une estime de soi solide : les 4 grands axes
1. Stabiliser le système nerveux
On ne peut pas travailler l’estime si vous êtes en hypervigilance.
respiration
ancrage
régulation émotionnelle
apaisement de la surcharge mentale
2. Identifier les croyances héritées
Les phrases qui tournent :
“Je dérange.”
“Je dois faire mieux.”
“Je ne suis pas assez.”
On ne les efface pas.
On les éclaire.
3. Reconstruire la sécurité intérieure
C’est ressentir que :
vous pouvez survivre à une déception,
votre valeur reste intacte,
votre estime ne dépend plus du regard extérieur.
4. Réapprendre à vous traiter avec respect
C’est le cœur du travail :
moins de suradaptation,
plus de limites,
plus d’alignement.
Exercices pratiques pour changer votre rapport à vous-même
Exercice 1 — Le scan d’auto-perception
Chaque soir :
Où me suis-je dévalorisé(e) ?
Où me suis-je oublié(e) ?
Où me suis-je respecté(e), même un peu ?
Exercice 2 — La phrase-racine
Main sur la poitrine :
“Je mérite le respect — y compris le mien.”
Exercice 3 — Le rituel anti-surdaptation
Chaque fois que vous dites “oui” alors que c’était “non” :
notez-le,
observez-vous sans jugement.
Étude scientifique : l’estime de soi se modifie réellement
Une méta-analyse publiée dans Psychological Bulletin (2019) montre que l’estime de soi :
• n’est pas fixe,
• peut évoluer fortement à l’âge adulte,
• augmente significativement en thérapie émotionnelle et relationnelle.
Les chercheurs observent une amélioration durable après :
• travail sur les émotions,
• travail sur l’attachement,
• reconstruction de la sécurité intérieure.
Cela confirme ce que j’observe chaque semaine en séance :
→ l’estime de soi est un muscle.
Elle se renforce avec la présence, la répétition, l’accompagnement.
Estime de soi & thérapie émotionnelle : ce qui se passe vraiment en séance
Une thérapie pour l’estime de soi n’est pas un cours ou une technique.
C’est un espace où :
vous pouvez déposer votre honte,
revisiter votre histoire sans y rester coincé(e),
expérimenter une présence non jugeante,
reconstruire votre sécurité émotionnelle.
En cabinet à Lille ou en visio, on travaille :
vos émotions,
votre système nerveux,
vos croyances,
vos relations,
votre sécurité intérieure.
Ce qui change vraiment quand l’estime de soi remonte
Beaucoup pensent que l’estime de soi change “la façon dont on se sent”.
En réalité, elle change toute votre vie relationnelle.
Quand l’estime remonte, vous remarquez :
• vous acceptez moins de choses injustes ;
• vous repérez les relations déséquilibrées ;
• vous ressentez moins la peur d’être seul(e) ;
• vous parlez plus calmement ;
• vous osez demander sans avoir peur d’être trop ;
• vous récupérez beaucoup plus vite après un échec ou un conflit ;
• vous vous traitez avec davantage de douceur.
Et surtout :
→ Vous arrêtez de vous battre contre vous-même.
FAQ – Estime de soi & thérapie
Comment savoir si j’ai besoin d’un travail sur l’estime de soi ?
Si vous vous reconnaissez dans :
la dévalorisation,
la peur de décevoir,
la difficulté à poser des limites,
la tendance à vous oublier.
Est-ce que tout vient de l’enfance ?
Beaucoup, oui.
Mais la vie adulte a aussi un impact énorme.
La visio fonctionne-t-elle ?
Oui — parfois même mieux que le cabinet.
Combien de temps dure un accompagnement ?
Les premiers changements arrivent souvent rapidement.
Le travail profond prend le temps nécessaire.
Reconstruire l’estime de soi n’est pas un travail intellectuel.
C’est une transformation intérieure qui touche la manière dont vous vous regardez, dont vous vous parlez, dont vous vous autorisez à exister.
Vous n’avez pas besoin d’être “guéri(e)” pour commencer.
Vous avez juste besoin d’un espace sûr, stable, où vous pouvez cesser de faire semblant.
L’estime de soi n’est pas un but.
C’est un chemin vers une manière plus douce, plus solide, plus juste d’être avec vous-même.
Et ce chemin se construit.
Pas à pas.
Présence après présence.
Pour aller plus loin
Si vous souhaitez :
reconstruire une estime de vous solide,
arrêter de vous dévaloriser,
comprendre enfin vos réactions,
cesser de vous perdre dans les relations,
retrouver votre sécurité intérieure…
Je peux vous accompagner à Lille ou en visio.
Et ça se travaille. Vraiment.
Je vous parle ici avec mon regard de psychopraticienne à Lille & en visio, spécialisée en thérapie émotionnelle, surcharge mentale, dépendance affective, hypersensibilité et blessures d’enfance;
Céline FOLLY
Thérapeute-Coach à distance ou à Lille, spécialisée en hypnose, PNL, accompagnement émotionnel, Je vous propose des séances adaptées à vos besoins.
Contact
celinefolly.pro@gmail.com


